1 Epok entre en résidence pour la deuxième fois. La première, c’était en février 2020, avec la reconstitution de la salle de rédaction du webzine au 23 rue du Pont aux Choux, QG parisien d’Heureux Les Curieux. Cette fois-ci, c’est toujours dans la capitale, mais rive gauche, chez French Theory. C’est quoi, ça ? Un hôtel de 48 chambres, mais pas que… On vient ici, à deux pas du Panthéon, pour boire, manger, lire, écrire, faire de la musique, l’enregistrer, la mixer, la produire, l’écouter… Signe particulier de cette résidence chez French Theory : on sait quand elle commence - à savoir : dès à présent -, on ne sait pas encore quand elle va s’arrêter. On verra… Cet « incertain » fait d’ailleurs partie de l’aventure.

Priorité à la spontanéité

En pratique, j’ai accès à la chambre n°11, conçue pour un voyageur en solitaire. Idéal pour bouquiner, rédiger, penser, se poser, se reposer. Et pour voir, savoir, recevoir, inviter, rencontrer, interviewer, j’ai une sorte de « carte blanche » dans les parties communes de l’hôtel : salon-bibliothèque, bar, studio d’enregistrement… tout est possible. Avec une priorité à la spontanéité, l’impromptu, l’imprévu, le « pas déjà vu ailleurs ».

Verre(s) au bar

Premier rendez-vous, ouvert à tous : lundi 19 septembre 2022, à partir de 18h30 dans le salon-bibliothèque de French Theory. Au programme : une conversation avec l’écrivain et ami fidèle d’1 Epok, Philippe Vilain, à l’occasion de la sortie de son dernier roman La malédiction de la madone (édition Robert Laffont). Puis, séance de signature du livre. Et, enfin, verre(s) au bar pour papoter, échanger, refaire le monde avec l’invité. Un invité qui vient aussi de faire l’objet d’une monographie, Philippe Vilain, l’amour en ses discours (Mimésis éditions), écrite par Francesco Paolo Alexandre Madonia, professeur de littérature à l’université de Palerme. Rentrée littéraire, mais aussi rentrée très classe le 19 septembre prochain au 18 rue Cujas, où 1 Epok prend ses marques.

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Merci à l'équipe de French Theory pour son accueil, les rires, les sourires, le cake au citron du matin et la fidélité à 1 Epok formidable.

© David Foessel