Il y a les passionnés. Les dingues de chevaux et de compètes. Les adeptes des belles bêtes. Et puis il y a les curieux. Celles et ceux qui ne montent pas, mais viennent au Saut Hermès juste pour voir. Voir les cavaliers, les élégants, les selles, bottes, bombes, éperons et étriers, les attractions pour les enfants…
Babyfoot, cantine XXL et Cheval Surprise
Une fois dans le Grand Palais, on a vite sympathisé avec les poneys. En particulier avec Chouchou, le bien nommé. On a observé les séances d’entraînement dans le paddock. On a aimé le babyfoot dans la salle de repos de l’élite internationale du saut d’obstacles 5*. On a repéré une cravache abandonnée. On a déambulé entre les ateliers des artisans de la maison du 24 Faubourg et les écrivains installés dans la librairie éphémère, le temps d’une dédicace. On a déjeuné au pied de l’escalier d’honneur, dans une cantine XXL campée sur un étonnant parterre rose. On s’est marrés devant le stand du Cheval Surprise, avec le choix entre quatre courses : pure vitesse, élégance mixte, allegro non troppo et la grande mêlée…
Haras, nocturne et pony-games
Hermès a le sens de la fête. Et de l’audace aussi, en métamorphosant les abords du Grand Palais en haras. Ou en faisant nocturne, le temps d’un galop de nuit avec le Prix du 24 Faubourg, nouvelle épreuve de vitesse chronométrée. On a hésité : pony-games ou pas pony-games ? Et puis, on s’est résignés : Comtesse mesure 1,90m et moi 1,76m. Plus pour nous, les poneys. Sauf quand ils prennent la pose face à l’objectif du Nikon d’1 Epok.