Où était Dick Rivers hier soir vers 18h17 ? Au téléphone avec Philippe Colin-Olivier. Le rockeur refaisait le monde avec l’auteur de Corps d’élite, dans la librairie Lardanchet (station Miromesnil, lignes 9 & 13, où bas et collants prolifèrent). A deux pas de l’Elysée. C’est d’ailleurs dans les coulisses du fameux palais que l’intrigue de ce polar mêle politique, jeux érotiques et humour grinçant. Durant cette séance de signature, on a bu du champagne, parlé whisky avec la femme de l’auteur, proposé un selfie à Jean-Marie Rouart - on a fait chou blanc avec l’académicien -, bavardé avec l’éditeur de Corps d’élite, Pierre-Guillaume de Roux, qui publiera en novembre le premier ouvrage en solo de Marie Céhère, consacré à Brigitte Bardot.
Gaffe, mea culpa et petit mot
La gaffe du soir : je pensais que Colin-Olivier n’avait pas dédicacé l’exemplaire du bouquin reçu chez moi. Bouquin que je n’ai pas encore eu le temps de parcourir. Mea culpa. Je me suis donc approchée de l’auteur en réclamant une phrase ou deux de sa main. Et là, bingo : le livre était déjà signé. Mais le romancier, pas vexé et encore moins rancunier, en a remis une couche. J’ai eu droit à cet autre petit mot face à la deuxième de couv’ : « Tu es venue pour rien… » Pas si sûr. Hier, où aurais-je pu avoir des nouvelles de Dick Rivers ailleurs qu’en direct du 100 faubourg Saint-Honoré ?