On y était à l’Andy Cocktail Party. Ça se passait à l’Andy Whaloo, rue des Gravilliers (Arts et Métiers, lignes 3 & 11), l’un des QG parisiens des graphistes Ich&Kar. D’ailleurs ils étaient de la p’tite fête. Et pour cause : le duo présentait la carte de cocktails de ce bar, qu’il a revue et animée avec la complicité de Christian Perrot -non, pas Aperrot, mais Perrot tout court…-, auteur d’une quinzaine de nouvelles. Nouvelles au fil desquelles on suit les aventures du célèbre Whaloo, « globe-trinqueur » de profession. Clou du show : vers 20 heures, Karin Viard est venue, « en copine », en lire quelques extraits.
Du champagne pour pallier l’absence d’absinthe
On a aimé les douceurs salées présentées par Halima : mini-clubs, mini-sandwiches… On a voulu reprendre de l’absinthe maison -même après le Fervex bu cul sec par l’auteur des polas de ce post-, mais le plateau n’est pas repassé. Sans doute pris en otage quelque part entre le bar et la terrasse où se mêlaient acheteuses d’art, Bambi Sloan, Charlotte de La Grandière et… Sam. C’est avec lui qu’on a refait le monde… de la pub, de la presse, sur fond de Nuit debout, lutte antiracisme et coupe de champagne : fallait bien pallier l’absence d’absinthe.
Sirène, flics et voiturier
En repartant, on s’est marré : une voiture de flics, sirène à fond, a stoppé net devant le voiturier d’un resto de la rue Pierre Lescot. On a cru que le conducteur, sans doute pressé d’aller dîner, allait laisser ses clefs au grand type tiré à quatre épingles, chargé de garer les bagnoles. Pas du tout. Les fonctionnaires avaient été dépêchés pour une intervention dans les Halles et tentaient juste d’expliquer au voiturier que son kakemono empêchait toute circulation. A commencer par celle des véhicules d’urgence. Epoque formid'.