Après les ruches perchées sur le toit de l’Opéra Garnier –qui produisent 200 kilos de miel par an-, place à celles du Scribe. Depuis le 1er juin, l’hôtel parisien a installé des ruches sur ses toits, dont le miel sera proposé dès septembre au petit-déjeuner et au salon de thé. Le chef des cuisines, le chef pâtissier et le chef barman du Scribe travaillent également à des créations inspirées par ce nouveau « produit maison ». Quant au Keiraõ Spa de l’hôtel, il affichera, dès la rentrée, un soin à base de miel importé des étages supérieurs. Epoque formidable, non ?