A Marseille, c’est un portrait de Zinedine Zidane -de 10 mètres sur 15- qui domine le quartier de La Castellane. A Boulogne-sur-mer, le visage de Franck Ribéry veille sur l’entrée du port. Et, à Paris, nous avons Marc Lavoine sur l’équivalent de deux étages, juste au pied de l’église de la Madeleine. Symbole d’un nouveau parfum, il trône rue Royale en VIP du 21ème siècle. Divines idoles ou icônes en toc ? A vous de voir. Epoque formidable, quand même : un libraire de la rue de Médicis, face au jardin du Luxembourg, a accroché un portrait noir et blanc de Michel Foucault dans sa vitrine. Il est entré en résistance. Soutenons-le.