Confession d’un prof de l’université Paris-Dauphine : « je ne juge plus que le fond et non la forme des copies de mes élèves de Licence ». Car si cet enseignant devait sanctionner les fautes d’orthographe, les étudiants auraient des notes négatives. Epoque encore plus formidable : « certains de mes élèves ne citent plus d’auteurs, ni de philosophes, ni d’économistes en référence dans leurs copies, mais des émissions de télévision. La dernière en date, c’était Vis ma vie… »