Cette affiche publicitaire, immortalisée hier dans le 17ème arrondissement de Paris par un ami de ce blog, a de quoi laisser perplexe. Non seulement la Fnac n’est plus le lieu culturel d’autrefois -la faute au téléchargement ?-. Mais le soi-disant « Dimitri, fils d’adhérent » aurait bien besoin de retrouver le chemin de ces rayons de livres et de disques, aujourd’hui trop désertés. Epoque fort minable…