Je ne pensais pas que l’on puisse être à ce point accro à l’écran. Au petit écran. Oui, à la télévision. Depuis que la série The Killing a démarré sur Arte, je ne rate aucun épisode. Parce que c’est impossible. L’intrigue, l’enquête comme les personnages de ce polar polaire –importé du Danemark et créé par Soren Sveistrup- ne vous lâchent pas. Difficile de se dé-scotcher de la télé –époque formid’ ?-. On est happé. Hypnotisé. Intrigué. Effrayé. Fasciné par cette saga de l’été. L’histoire ? Il s’agit de répondre à la question : qui a violé et tué Nanna Birk Larsen ? La commissaire Sara Lund (étonnante Sofie Grabol) hante les rues de Copenhague à la recherche du coupable. Tout ça sur 20 épisodes -20 jours d’investigation-, à raison de 3 diffusés le jeudi soir et 4 le vendredi. Résultat : on démarre à 20h50, on peut terminer à près d’une heure du mat’. Sans coupure-pub. Ni pause-pipi. Accro, je vous dis. Pour se désintoxiquer, un seul remède : le dénouement programmé vendredi prochain autour de minuit. Merci aux amis de ne pas m’appeler ce soir-là !