Hier à 14h, une bande FM du Val d’Oise (la n°1 du département, paraît-il…) m’a sollicitée, en direct, pour parler de mon bouquin. Ça commençait mal : la journaliste a cru que je vivais entre Paris et Agen. Non, c’est Angers : je préfère le Cointreau aux pruneaux et 1h30 de TGV à 4 heures… Mais je lui ai vite pardonné cette étourderie lorsqu’au fil de ses questions, elle s’est calée sur les chansons qui ouvrent chacun des chapitres du livre. Subitement, on a écouté La Complainte du progrès de Boris Vian ou encore Les Mains d’une femme dans la farine de Claude Nougaro. Des textes méconnus, qui pourtant en disent long… Un regret : je n’ai pas eu droit à Edith Nylon et son fabuleux Electroménager. Rien d’étonnant à cela : moi-même j’ai ramé pour retrouver les paroles de la chanson de ce groupe de rock français des années 1980. J’ai fouiné toute une matinée dans les archives de la BNF, rue de Richelieu. Il pleuvait à torrent. J’avais les pieds trempés pour avoir tourné deux fois autour du bâtiment, avant de comprendre où en était l’entrée. Mais, bon, j’ai fini par dénicher les paroles avec, en prime, la partition de musique. Epoque formid’ 😉