C’était sa soirée d’anniversaire. Paul Smith vient de fêter ses 25 ans de domiciliation au numéro 22 du boulevard Raspail, sa première boutique parisienne. Sir Paul Smith était là en personne pour accueillir les invités, leur servir un verre, prendre la pose dans un photocall installé pour l’occasion et refaire le monde avec l’équipe d’1 Epok. Car mister Smith a été l’un de nos contributeurs dans le premier numéro « papier » de ce webzine. Tout comme l’ami Charles Consigny, présent lui aussi à la fête. Avec un quart de nos « pigistes » en piste, on aurait presque pu improviser une conférence de rédaction ! Pas mal et pas banal entre flûtes de champagne, gougères et sablés XXL de la maison Poilâne.
Casquette, boléro, parme et short
On a aimé la casquette en cuir noir d’Ariel Wizman, DJ du soir. On a flashé sur l’invité vêtu d’un boléro tout en lamé : une autre idée du… gilet jaune. On s’est marrés avec un marchand d’art. On a lorgné sur les boots couleur parme de Peter von Poehl et le short en cuir d’une fille en quête de photographes. On a croisé Marie Modiano, Thibault de Montalembert, Antoine de Caunes et Hippolyte Girardot, dont 1 Epok reste fan de la prestation dans Un monde sans pitié. Notre réplique de référence : « C’est pas nous les bandits ! »
Pause-clope, Cocoon et lapins
Rez-de-chaussée et sous-sol affichaient complet. Le trottoir aussi : pause-clope oblige… Entre vestes et chemises, accessoires et manteau Cocoon bouclé bleu, on a refait le monde de Rohmer avec Foc Kan, parlé « lapins » avec Apollonia Poilâne et retrouvé l’ami Claude Sérieux. Paul Smith nous avait prévenus : « Tout s’arrête à 21 heures. » Sans doute à cause du voisinage. Mais aussi parce que les bons moments et les fêtes réussies se passent de jouer les prolongations.