On ne s’y attendait pas. On avait pourtant fait gaffe et pensé à effacer les traces d’effraction, les empreintes sur les verres, la table, les bouteilles. Mais on a dû oublier un truc… Résultat : on s’est fait coffrer. Choper. Epingler. On a eu droit à la totale : interrogatoires, photos de nos tronches à l’aube et publication de nos exploits dans les Echos judiciaires girondins. Pas donné à tout le monde. Ça nous apprendra à franchir le périph’ parisien pour prendre l’air.
« Singuliers » et « mode opératoire »
Trêve de plaisanterie. Après un article dans les colonnes de Sud Ouest, c’est dans la rubrique Culture - et pas dans les Faits div’ - des Echos judiciaires girondins que les 60 « singuliers » - accrochés jusqu'au 1er janvier au Saint James, à Bouliac - ont fait leur apparition. Un excellent papier, qui dit tout de l’esprit dans lequel on a bossé, de notre « mode opératoire » aussi. Merci à nos confrères bordelais : grâce à eux, c’est la gloire et surtout on s’est marrés à bricoler nos portraits façon « under arrest ».